News - carnaval auxonne version 3

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Tavaux le 5 mai 2013

Participation de quelques chars d'Auxonne
Venez nombreux !!
Samedi 30 Mars après-midi,
les carnavaliers ont accueilli le groupe Cocktail Paradise du Lorrey
et les Winnie l’Ourson de la Feuillée pour un défilé déguisé dans les rues de la commune.

Pour l’occasion, Les Tziganes de Villers avaient sorti leur char recouvert de milliers de fleurs multicolores.
Les enfants des écoles étaient également de la partie
et n’ont pas hésité à lancer de nombreux confettis.
Après avoir déambulé dans les rues, les participants étaient invités dans la cour de l’école
pour partager gaufres et crêpes préparées par le groupe des Tziganes.

Auxonne : le Carnaval mal aimé qui dérange


A partir de demain paraitront sur ce site 5 petits articles sur le Carnaval d’Auxonne.
Ils n’ont pas pour but de polémiquer mais simplement d’exposer de la manière la plus claire la situation du Carnaval et du CCEA qui est de plus en plus critiqué surtout cette année avec l’augmentation du prix de l’entrée.


- les auxonnais aboient, le Carnaval passe,
- nul n’est pro-fête en son pays,
- quand la soupe est bonne il faut la partager,
- la vérité des prix,
- qui vivra verra…

Auxonne : le Carnaval mal aimé qui dérange


1/  Les Auxonnais aboient, le Carnaval passe.

Au début du carnaval, la ville était ouverte et les spectateurs ne payaient pas d'entrée. Il est vrai que les temps étaient moins durs et la construction des chars beaucoup plus sommaire. Pour amener un peu d'argent dans la caisse et ainsi pouvoir faire venir des musiques de qualité et donner un petit prix aux groupes déguisés, la Société qui est une association loi 1901 indépendante de la commune a fait la quête dans les rangs des spectateurs et auprès des gens penchés à leurs fenêtres à l'aide de grands bâtons. Vous pensez bien que ce système n'a pas donné de bons résultats et la société a dû se résoudre, pour pouvoir faire face à ses obligations, rendre le spectacle payant en fermant les rues.

Et c’est là ou le bât blesse pour deux raisons :
- la première : il a fallu faire un découpage pour créer une enclave au centre ville la plus réduite possible. Et depuis ce temps là, ceux qui sont à l’intérieur ne paient pas et ceux qui sont à l’extérieur paient (la majorité des Grangers l’ont compris et ne râlent pas). Pour mettre tous le monde d’accord il faudrait décentraliser le corso, on y pense mais les commerces du centre ville ne vont pas être contents. Mais s’il le faut ???
Alors si quelqu’un a une idée de génie pour trouver une meilleure solution, qu’il ne se prive pas de le faire savoir !!!

- la deuxième : certains auxonnais qui paient leur entrée ne trouvent pas ça normal car ils paient des impôts à Auxonne. La belle affaire, nous avons 6 500 Euros de subvention mais nous payons 3 000 Euros de location de salle, nous payons notre électricité, nos impôts, notre chauffage, notre téléphone et en plus nous offrons un spectacle pour les enfants des écoles maternelles qui coûte 1 000 Euros et il plait beaucoup aux petits. Qu’est ce qu’il nous reste ???
Pourquoi ne fait-on pas les mêmes critiques à d’autres sociétés auxonnaises qui elles reçoivent beaucoup plus de subventions que nous, qui utilisent les salles communales nettoyées par les agents municipaux et chauffées par nos impôts.
D’autres villes plus importantes peuvent se payer le luxe d’offrir un Carnaval gratuit mais c’est un leurre car au bout du compte qui paie,.. le contribuable,    et le contribuable c’est vous !!!

Notre Carnaval est une des rares manifestations qui existent encore à Auxonne et qui assure la renommée de la ville. Grâce à la contribution financière de nos spectateurs et à la créativité et au dynamisme de nos carnavaliers elle a atteint un niveau de qualité bien supérieur à ceux de villes plus importantes.
On pourrait envisager d’en réduire le standing en réduisant l’aide aux carnavaliers mais ce serait vite la ‘’dégringolade’’ et la fin du Carnaval d’Auxonne à brève échéance.

Alors en attendant de trouver une solution miracle le Carnaval passe et les Auxonnais….n’ont rien compris !!!

Nul n’est pro-fête en son pays

A 91 ans, notre Carnaval se porte comme un charme par la qualité du spectacle proposé et par le nombre des déguisés. Le défilé du Carnaval 2013 qui comportait 30 chars n’avait jamais connu un tel engouement de la part des carnavaliers qui les construisent.

Qui sont-ils ?
Ces groupes de carnavaliers sont composés de 20 à 40 personnes jeunes et moins jeunes qui pour la plupart se sont constitués également en association Loi 1901. Leur but est bien évidemment de participer au carnaval mais ils organisent également d’autres manifestations : vide grenier, voyages, sorties de ski, téléthon, percée du vin jaune,…

Quand démarrent-ils ?
Dès la fin de l’été les groupes se constituent ou se réunissent pour choisir le thème du char de l’année suivante. C’est un tâche ardue car depuis 91 ans que le carnaval existe sous cette forme il y a déjà eu beaucoup de réalisations et pour trouver une idée nouvelle il faut se casser la tête et ‘’piocher’’ dans l’actualité ou dans les films récents. Une autre solution consiste à relooker un thème déjà utilisé.
C’est à la réunion des constructeurs organisée par le CCEA fin septembre ou début octobre que sont actés ces projets. Là le travail peut commencer.

Comment font-ils ?
Ils aiment se retrouver pour imaginer un projet, pour vivre ensemble une aventure qui se fait rare dans notre société, de mener au bout une idée pour une réalisation commune. Les groupes se structurent pour distribuer les tâches :
- les filles plient les fleurs en papier crépon et les collent sur le structure, imaginent et créent les costumes et là, il faut des trésors d’ingéniosité pour la découpe sur mesure, pour y faire tenir les accessoires, les paillettes, …la réalisation des chapeaux a elle seule est toute un art,
- les garçons se chargent de la forme du char qui est constitué d’une armature en bois, en fer à béton, ou autre, toutes les combines sont acceptées. Cette armature est recouverte de grillage ou seront collées les fleurs.
Les aînés et les jeunes s’associent pour mener ce même projet, les âges de nos carnavaliers vont de 2 à 80 ans,
Les aînés montrent aux plus jeunes, les guident. Le groupe apprend à travailler ensemble. Les jeunes prennent une responsabilité et l’assument, ils apprennent à clouer, à peindre, à souder, à coller les fleurs, et j’en passe
Ces réunions permettent le contact entre toutes les couches sociales.
Tout cela se réalise avec un maître mot : économie (nous y reviendrons au chapitre la vérité des prix).

Quand travaillent-ils?
Ces réunions commencent dès l’automne, le samedi et le dimanche, elles donnent souvent lieu à des dégustations de gaufres et de veillées comme autrefois (avant la naissance de la télé) et bien sûr à des repas ou tout le monde se retrouve pour parler du projet en cours, des anciens carnavals ou de la vie tout court,
C’est toute cette préparation qui est la plus palpitante, la plus dense d’échanges et qui est véritablement un lien social,
Ils travaillent des mois à leur réalisation dans la chaude ambiance de leur groupe et dans la bonne humeur. Chacun met son savoir faire au service du char et s’il ne sait pas bricoler, il sera épaulé et apprendra bien vite.

Ou ?
Dans le passé, les maraichers auxonnais avaient des granges qui étaient inutilisées l’hiver. Les groupes n’avaient donc pas beaucoup de mal pour se faire héberger et pouvoir construite leur char dans un semi confort d’autant que ces chars n’avaient pas les dimensions de ceux que nous connaissons maintenant.
Aujourd’hui ces granges se sont transformées en habitations et il est de plus en plus difficile à nos carnavaliers de trouver un abri.
C’est un problème très grave pour nous et nous qui risque de peser lourds sur l’avenir de notre carnaval.

Quel est leur objectif ?
La motivation des groupes est extrême. Chacun du plus petit au plus grand se fait un point d’honneur à vouloir présenter le plus beau char et les plus beaux costumes, hauts en couleurs dans une ambiance folle et décrocher si possible un 1er prix.
Ils veulent présenter au public leur chef d’œuvre lorsque vient le jour de carnaval, c’est le défoulement, tous sont heureux et fiers de montrer leurs réalisations si le temps le permet.

Nul n’est pro-fête en son pays
En plus d’assouvir le besoin de se défouler et de décompresser après l’hiver, le carnaval assure un Rôle social et éducatif. Il permet le contact entre les générations et entre les gens de divers horizons. Pour preuve depuis quelques années un groupe a intégré des pensionnaires du Foyer de Vie et de Progrès de la rue de Chevigny. Ces personnes sont heureuses de sortir de leurs murs et de participer à la confection de leur char et de leur costume. Ils viennent même au bal de samedi soir. Est-ce que ce n’est pas une intégration réussie ??
Mais faire la fête ne plait pas à tout le monde. Des grincheux trouveront à dire que les jeunes cassent tout et créent des ennuis aux bons citoyens.
Il existe des villes ou l’on se permet de brûler toutes les voitures que l’on veut sans émouvoir qui que ce soit. Mais si un soir de carnaval à Auxonne un pneu est crevé, il faut tout arrêter. Alors que bien souvent nos carnavaliers sont étrangers à ces exactions qui viennent de provocateurs étrangers à nos manifestations.
Alors dans la morosité ambiante, il faut que la petite lumière du carnaval d’Auxonne continue de briller, que la jeunesse continue de défiler dans ses costumes colorés, qu’elle danse la sarabande dans les rues de notre vielle cité, qu’elle montre sa joie de vivre et qu’elle montre que notre pays et particulièrement notre ville ne sont pas moribonds.

Pour conclure, nul n’est pro-fête en son pays (comme dit un vieux proverbe anti joie) mais faisons contre mauvaise fortune bon cœur. Et le cœur, les carnavaliers en ont.
Quand la soupe est bonne, il faut la partager

Comme toutes les sociétés loi 1901 le CCEA est composé de bénévoles.
Et ces bénévoles sont bien occupés :
- de nombreuses heures de travail sont nécessaires toute l’année dans le hangar de la société pour entretenir ou rénover le matériel : lustres, bars, tracteurs,
- la préparation du carnaval les occupe au maximum car il faut :
- mettre en place la publicité : pour cela il faut coller les affiches sur les supports en isorel et aller les poser dans les points stratégiques de grande circulation et souvent loin d’Auxonne. Ils font cela bénévolement sans défraiement des kilomètres parcourus avec leurs véhicules personnels.
- il faut poser les panneaux à l’entrée de la ville, à Dole et aux carrefours,
- mettre en sac les confettis, ça représente 6 à 7 000 sachets à remplir et à conditionner dans des caisses pour distribuer dans les véhicules pour le corso,
- préparer la salle pour les bals : pose de la décoration, mise en place du lino de protection du balcon, installation des bars, des frigos et de la boisson, …
- préparer le char que l’on brûle,
- rechercher et mettre à disposition des carnavaliers les mini-tracteurs que l’on ne ‘’trouve’’ pas à Auxonne,
- sans oublier la confection de panneaux, la pose des drapeaux et encore à bien d’autres tâches.
- pour les bals tout le monde est à son poste : pour encaisser et contrôler les entrées, pour distribuer la boisson derrière les bars, pour assurer la sécurité aussi bien intérieure qu’extérieure,
- le matin de carnaval qui est le grand rendez-vous, personne ne chôme car il faut :
- préparer les sandwichs pour les musiques qui ont défilé et nettoyer la salle des fêtes,
- mettre en place les guérites de vente des tickets de carnaval,
- mettre en place les dernières barrières.
- pendant le défilé personne ne profite du spectacle, tout le monde est occupé :
- à l’encaissement des entrées et c’est une tâche ingrate par la faute de certains Auxonnais,
- à la vente des confettis,
- à la suite et à la sécurité du défilé.
Et après les fêtes il tout remettre en ordre et stocker notre matériel.

Ces bénévoles vieillissent, les anciens nous quittent après de longues années de service exemplaire. La relève n’est que peu assurée. Cela n’intéresse personne de passer de longues soirées derrières les bars lors des bals et ou aux entrées de carnaval pour se faire insulter par une minorité d’imbéciles. C’est de la folie, les gens sont de plus en plus agressifs, malheureusement et particulièrement les Auxonnais alors que les visiteurs des alentours ne posent que très peu de problèmes car eux, ils aiment notre carnaval.

La première chose qu’on leur reproche c’est : ‘’avec l’argent que vous ramassez vous allez pouvoir faire des gueuletons’’.

Sans vouloir se justifier mais pour bien pour mettre les choses au clair, vous allez tout savoir !
Déjà, ce n’est pas un crime que d’aimer à se retrouver dans une autre ambiance que celle des bals ou du carnaval. Le CCEA est une équipe de copains qui aiment à se retrouver tout au long de l’année et voila comment cela se déroule :
- élection du bureau : elle se termine par un petit mâchon ou chacun paie sa part,
- repas de clôture des fêtes de carnaval : pour décompresser et récompenser tous les participants à ces fêtes un repas dansant est organisé mais là encore tout le monde paie sa part excepté les Reines et leurs parents (ce qui est bien normal car ils se sont investis toute l’année dans nos manifestations et dans la construction de leur char) et quelques personnes qui nous ont aidé,
- voyage de printemps : tout est à la charge des participants avec une gratuité pour nos trois reines,
- pétanque : repas tiré du sac donc pas de dépenses et équilibre de ce compte,
- rallye cycliste : là également tout le monde paie sa part ce qui nous donne l’équilibre de ce compte,
- banquet de fin d’année : et bien pour terminer tout le monde paie sa part sauf les gratuités pour nos trois reines.

Voila qui est dit. Ces comptes sont présentés chaque année à l’Assemblée Générale ou tous les adhérents sont invités. Ils sont vérifiés par deux vérificateurs aux comptes. Ils sont également à la disposition de tous.

Ces quelques lignes auront peut être éclairé les personnes de bonne foi. Pour les autres qui ne pensent qu’à dénigrer le mal est incurable.

Pour terminer, si vous pensez encore que la soupe est bonne venez donc la partager avec nous car nous avons besoin d’aide, nous vous ferons une petite place à notre table !!!

A suivre

Soirans : en route pour le bonheur

Depuis quelques mois déjà et, pour la sixième année consécutive,
le groupe des Voisins’zins de Soirans se retrouve chez David Sieroslawski,
responsable du groupe, pour la construction de leur char qui aura pour thème
cette année “porte-bonheur”.

Trente et une personne composent ce groupe de copains qui prennent
plaisir à se retrouver chaque week-end pour coller les fleurs multicolores
sur la structure métallique du char.
Bonne humeur et franche rigolade sont toujours au rendez-vous
en attendant le grand jour du corso fleuri dans les rues auxonnaises.

David Sieroslawski est responsable du site Internet du CCEA
qu’il gère au jour le jour, en y ajoutant des photos
et informations concernant les différentes activités du CCEA
et notamment les festivités carnavalesques.
Il donne rendez-vous à chacun pour découvrir le char
des Voisins’zins dimanche 3 mars, dès 14 heures,
dans les rues auxonnaises.

Be fruit et ses 300 000 fleurs

Cette année encore, Le défilé d’idées d’Auxonne va en
surprendre plus d’un lors du grand corso fleuri organisé
par le CCEA (Club carnavalesque et excursionniste auxonnais) le 3 mars.

Le groupe Le Défilé d’idées , qui est composé d’une cinquantaine
de personnes, a débuté la construction de
son char dès le mois d’août dernier.
Après sept mois de travail, Benoît Coppa et toute son
équipe mettent les bouchées doubles pour que tout soit fin
prêt pour le grand jour. Plus qu’une petite quinzaine de
jours et les spectateurs pourront admirer le magnifique
char aux trois cent mille fleurs multicolores que Le
Défilé d’idées a appelé Be fruit.

Un travail énorme
Encore un char aux dimensions hors normes, mais,
comme l’explique Benoît Coppa, « les gens paient,
alors il ne faut pas les décevoir.
C’est en partie pour cette raison que nous construisons
depuis quatorze ans des chars aussi gros. Notre plus
belle récompense, ce sont tous les applaudissements du
public quand nous défilons dans les rues.
D’ailleurs, je tiens à remercier tout lemonde
pour tous les soutiens et compliments que l’on a reçus.
Il est vrai que cela représente un travail énorme,
d’abord avec la construction de l’armature pour laquelle
nous avons passé de nombreuses heures à tordre la ferraille,
à souder les différentes parties…Puis il y a la découpedupapier
crépon et la confection des centaines de milliers de fleurs multicolores ».
Mais le résultat en vaut vraiment la chandelle.
En plus, cette année, le groupe réserve quelques surprises aux spectateurs.
Pour tous ceux qui souhaitent rencontrer les
membres du Défilé d’idées et admirer leur char, qui portera
le numéro 35, le rendez-vous est donné dimanche 3mars,
dès 14heures,dans la Grande Rue d’Auxonne.
Préparer les confettis.

Les préparatifs vont bon train

C'est l’effervescence chez les carnavaliers
qui s’activent pour terminer dans les
temps chars fleuris et costumes
de la 91e édition du carnaval
qui se déroulera dimanche 3 mars.
Visite chez cinq groupes en pleine préparation.
Finis les soudures, la pose de grillage,
le temps est maintenant aux finitions :
collage des fleurs multicolores
confectionnées, pour la
plupart, à la maison.
Combien coute un carnaval ?

Voici, sous forme de camenberts, ce que coute un carnaval.
Recettes et depenses vous sont détaillées ici


Les responsables de chars ont répondu
à l’invitation du bureau directeur du Club carnavalesque et excursionniste auxonnais (CCEA)
pour une première réunion d’information sur l’organisation
du prochain carnaval qui aura lieu
dimanche 3 mars 2013.


À cette occasion, Gérard Liottet, président du CCEA,
a rappelé à tous les participants les dispositifs de réglementation
pour les festivités carnavalesques.
Il a notamment insisté sur le respect des horaires de sortie
lors du grand bal masqué du samedi soir en particulier,
car l’heure de fin de bal est réduite chaque année.
Il précise alors « la nécessité d’arriver plus tôt et de ne pas attendre
que les douze coups de minuit aient sonné pour entrer au bal ».

Par ailleurs, Roger Tachin a insisté auprès des responsables de chars
pour qu’ils renseignent avec précision l’adresse du hangar ou local
où sera construit leur char à cause de l’assurance
qui est bien sûr prise en charge par l’association.
De même, lors du défilé du dimanche, l’assurance couvrant les dommages qui pourraient être causés aux tiers,
et une assurance pour tout le matériel loué est prise en charge par le CCEA.
Et, pour une bonne organisation du défilé et une mise en place plus facile,
il est demandé aux carnavaliers d’entrer avec les chars fleuris par la rue du 8-Mai,
et de respecter une distance d’une vingtaine de mètres entre chaque char
afin que les spectateurs puissent profiter de chacune des constructions fleuries.

Pour finir,
le bureau annonce que l’assemblée générale aura lieu dimanche 25 novembre à 11 heures précises,
à la salle Événementielle.
L’association carnavalesque
Les Grenouilles de Labergement-lès-Auxonne,
présidée par Brigitte Baron, a tenu son
assemblée générale à la salle des fêtes.
L’occasion pour les adhérents de reprendrecontact et,
déjà, de se tourner vers la réalisation du char qui
prendra part au corso du carnaval d’Auxonne en 2013.


Après les habituels rapports et bilans qui ont définitivement
mis un terme à l’ère “Planète ça tourne”, thème du
précédent char, les propositions d’idées pour le prochain
ont vite animé les débats.
Il en ressortira l’adoption à l’unanimité d’un projet plutôt original
et inédit de char et costumes, dont le thème sera
secrètement gardé encore quelque temps.
Plans, couleurs des fleurs, matériaux,costumes…, c’est dans les
prochains jours qu’un noyau de concepteurs à l’imagination
débordante va préparer ce qui deviendra l’occupation
des week-ends d’hiver de la plupart des quarante adhérents.
Ils se retrouveront très prochainement dans l’atelier
où sont réalisés char et costumes.

De plus, l’association organise une sortie à La Percée du vinjaune
le 3 février à Voiteur (Jura). Après le carnaval
d’Auxonne le 3 mars,Les Grenouilles
participeront également à celui de Labergement lès-Auxonne
le troisième samedi d’avril.

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